Restitution de l’atelier  » Synthèse de la réflexion sur la Transition dans les Alpes Maritimes »

Restitution « brute » de l’atelier de réflexion du 4 mars 2017:

  • Un besoin de se connaitre les uns les autres, besoin de visibilité entre structures. Ne pas faire de redondances.
  • Un besoin de connaitre les valeurs de chaque organisation.
  • Envie de ne pas réinventer la roue.
  • Besoin d’accélérer le mouvement de la Transition. Une structure seule est moins efficace, il y aurait intérêt à développer des synergies.
  • Besoin de visibilité externe, sur le champ politique, sur le grand public, avoir plus de poids.
  • Besoin de moyens pour développer action et influence.
  • Besoin de faire émerger de nouveaux projets à long terme.
  • Une volonté d’efficacité.

Quelques propositions à court et moyen terme, sur la synergie:

Agenda inter collectifs.

Avoir un inventaire clair de qui fait quoi, sur quel territoire, avec quelles valeurs, avoir un état des lieux clair, qui pourrait se visualiser sur une cartographie mais pas seulement.

Mettre en place un groupe de réflexion sur la mise en commun des besoins

Créer un événement plus large dans l’objectif de favoriser la connaissance entre différents acteurs, plus structuré, avec une présentation plus en détail de chaque association sur un espace unique,avec présence du public.

Proposition de grouper  des AG d’association dans un même lieu pour mutualiser l’espace et les acteurs qui sont parfois dans plusieurs collectifs à la fois

Projet de « Newsletter de la Transition » sur l’ensemble des activités des collectifs de Transition du département

Projet de définir valeurs communes partagées par les collectifs, à organiser et publiciser dans une charte, bien médiatisée, et servant d’appel et de validation aux autres collectifs qui voudraient bien nous rejoindre dans la transition. (Cf. Charte des villes en Transition)

Proposition que la synergie se rencontre 3 fois par an.

Gouvernance de la synergie: rester dans une structure souple et informelle, horizontale, à usage interne. L’externe, c’est ce que nous faisons dans nos collectifs. Le collectif n’a pas vocation à se substituer aux actions des collectifs.